Accompagnement de personnes

cle-chantal-011Accompagner des personnes en difficulté, en souffrance, ou simplement à la recherche du sens de leur vie, dans une relation basée sur l’écoute, l’empathie et la bienveillance forme le cœur des entretiens.

Le professionnel a un rôle d’accompagnateur. Il accompagne les personnes qui sont dans la nécessité de se libérer d’une difficulté ou de la douleur qui génère de la souffrance.

Plusieurs méthodes pour vous soulager

L’accompagnateur utilise plusieurs méthodes pour soulager, toutefois la réflexion individuelle analytique est la méthode la plus utilisée ici, lorsque les difficultés concernent ce que vous vivez intérieurement.

Alors les principaux objectifs du travail d’accompagnement sont :

  • la connaissance de soi, c’est-à-dire accueillir ses émotions afin de les comprendre et de les apprivoiser ;
  • approcher les dimensions encore inconscientes de notre vécu et les reconnaitre ;
  • identifier ce qui pose problème dans notre vie et le comprendre.

L’harmonisation énergétique permet de résoudre des difficultés plus ponctuelles, quelles soient de l’ordre physiologique ou psychologique. Pour retrouver le bon équilibre avec la pratique de l’harmonisation énergétique une séance peut suffire, parfois jusqu’à trois séances sont nécessaires espacées de quinze jours chacune.

La souffrance

La souffrance est le témoin d’un chemin de réalisation de l’individu, c’est le chemin le plus répandu, même s’il n’y pas que lui. Ce chemin est à parcourir jusqu’à la libération de la souffrance. La personne en souffrance demande d’abord à être soulagée. La souffrance doit être reconnue et combattue. C’est le rôle de la médecine et aussi de l’accompagnement.

Aujourd’hui, nous pouvons nous réjouir d’une meilleure prise de conscience de la violence de la souffrance, du refus d’accepter la souffrance, autant physique que psychique. Nous constatons le développement de multiples possibilités thérapeutiques, d’accompagnements et d’évolution des soins palliatifs.

Quand la souffrance est extrême

Quand la souffrance est extrême elle lamine et fige la conscience, la désorganise, déstructure la psychologie de la personne. Elle peut conduire à un sentiment de désespoir, de vide et de total aveuglement sur le sens de l’existence. Elle est souvent, en premier lieu, une expérience de non-sens, d’injustice, d’absurdité qui peut susciter, au mieux la révolte et la colère, mais souvent le déni ou la dépression.

La souffrance peut replier, enfermer le sujet souffrant sur lui-même, jusqu’à rendre les relations difficiles. En restaurant dans la personne le désir de vie, l’accompagnant va l’amener à se libérer de bien des inquiétudes et du repli sur soi. Ainsi le thérapeute permettra à la personne en souffrance d’accéder au récit de sa vie, à inscrire sa souffrance dans une histoire. Cela suppose de la part du professionnel une grande délicatesse, de l’humilité, de la patience, de la douceur et finalement de la force.

Nous comprenons toujours autrui comme nous nous comprenons nous-mêmes ou du moins comme nous cherchons à nous comprendre.

CG Jung précise dans L’énergétique psychique :

« Nous comprenons toujours autrui comme nous nous comprenons nous-mêmes ou du moins comme nous cherchons à nous comprendre. Ce que nous ne comprenons pas en nous-mêmes nous ne le comprenons pas chez les autres et inversement. Ainsi, pour des raisons dont on n’a que l’embarras du choix, l’image d’autrui que nous portons en nous est en général hautement subjective. Comme l’on sait, même une connaissance intime ne saurait impliquer une appréciation d’autrui à son exacte valeur. »